Le métier de développeur web

Je suis « développeur professionnel » depuis 6 ans maintenant.

Mais comme beaucoup d’autres devs, j’ai passé bien des week-ends à coder des projets persos.

• En 2010 j’ai créé OpenLetters, un blog communautaire (comme Medium plus tard) ;
• En 2011, une application nommée « STS » (les mêmes fonctionnalités qu’Happn, bien avant) ;
• En 2012, Slowin’ Killer, un concurrent à CCleaner avec +100 000 téléchargements ;
• En 2014, MokiMe permettait de récupérer des followers Twitter et de planifier ses tweets ;
• En 2016, je rejoins TodayCycling, une marketplace sur le vélo (comme AllTricks récemment racheté par Decathlon) ;
• En 2018, la Kantoch’ née pour faire ses courses diététiquement (comme Jow plus tard) ;
• En 2020, j’en ai marre de ne jamais réussir à aller au bout de mes projets de devs et je crée ce blog.

Le métier de développeur web est à la fois passionnant et très frustrant.

On est beaucoup à rêver grand et à coder le soir par pur plaisir.

On est beaucoup moins à en vivre.

Le marché de l’emploi du développeur web

En France, trouver un job de développeur web est accessible, mais compliqué.

On demande aux développeurs juniors d’avoir de l’expérience.

Les développeurs médiors, doivent maîtriser un bon paquet de technos pour être embauché.

Seuls les devs seniors qui ont bossé pour des gros groupes s’en sortent plus facilement.

Concernant les développeurs freelance, c’est un peu le même bazar.

Comme dans tous les jobs, ce sont ceux qui en veulent le plus qui finissent par gagner.

Heureusement pour nous, on peut tous se perfectionner en code avec internet.

Ce blog de dev est là pour rendre accessible des notions de programmation aux francophones.

Mais pour être franc, j’écris aussi par passion et pour consolider mes connaissances.

Portrait type du développeur web

Je suis développeur web depuis quelques années maintenant.

• J’ai fait 5 années d’études en alternance ;
• Ça fait 6 ans que je programme pour des boîtes ;
• Des centaines de week-ends à coder mes projets persos ;
• Ça fait des années que je code des SaaS que je ne finis jamais ;
• Si un jour on me propose de m’associer sur un projet ambitieux, je signe direct.

Mon profil de dev, j’imagine qu’il matchera avec d’autres devs qui liront cette page.

Je suis passionné et je ne m’attends pas à ce que tout le monde le soit aussi…

Mais ce métier, il faut s’accrocher pour (bien) réussir.

Et j’espère que ces articles t’aideront.

Les qualités et compétences d’un bon développeur web

Je pense que les meilleurs développeurs sont les plus curieux, pas les plus faignants comme on peut souvent l’entendre.

Un bon dev se forme, aime comprendre, apprécie de comprendre le problème qu’il essaye de résoudre, se soucie de l’entreprise, des humains, cherche à évoluer et s’implique dans son métier.

Pour être honnête, je ne suis clairement pas le meilleur développeur Node / React de France.

Je suis senior oui, mais il me manque pas mal de notion, j’ai jamais lu le code du moteur de rendu V8 de JavaScript et je ne le ferais probablement jamais.

Là où je suis meilleur que les autres devs ?

Je suis très impliqué dans les projets, très organisés, je m’implique énormément pour que le projet soit une réussite.

Pour moi, c’est ça, être un bon développeur web.

Ça ne se joue pas au nombre de compétences que j’ai sur mon LinkedIn…

Ta dose de motivation tech chaque semaine

Dans ma newsletter, je partage chaque lundi une astuce où une nouvelle manière de coder que j’ai pu apprendre cette semaine.

Si jamais tu es sur ces réseaux, on peut s’y retrouver avec plaisir.